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Beyrouth/Le Secrétaire général de Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, a affirmé que les pays soutenant le terrorisme en Syrie manquent de logique pour couvrir leurs crimes en Syrie et procèdent à semer mensonges, précisant que Hezbollah soutient toute initiative visant à arrêter l’effusion de sang et à ouvrir des perspectives de réconciliations et de solutions politiques en Syrie.
Dans une allocution qu’il a prononcée lors d’un Service funèbre à Baalbek, Nasrallah a démenti tous les mensonges et les prétentions propagés par les pays parrains du terrorisme et les chaînes tendancieuses contre Hezbollah.
Nasrallah a indiqué que le parti de Hezbollah soutient avec force non seulement la cessation des hostilités à laquelle était parvenue la réunion d’Astana, mais également tout arrêt des combats en Syrie et appuie toute initiative visant à arrêter l’effusion de sang et à donner l’opportunité aux réconciliations nationales.
Sayyed Nasrallah a précisé que le Hezbollah est soucieux de traiter toutes les crises humanitaires graves, dont à la tête dans les deux localités de Fouaa et Kafraya dans la banlieue d’Idleb, assiégées par les terroristes.
Nasrallah a affirmé que l’actuelle orientation de la crise en Syrie est due à la fermeté des Syriens et à la position constante de la direction et de l’armée syriennes et de toutes les parties qui avaient refusé de se soumettre au terrorisme takfiriste, à ajouter les pays amis.
A propos de la question des réfugiés syriens au Liban en raison du terrorisme, Nasrallah a appelé à traiter moralement avec ce dossier, loin des considérations politiques et de l’exploitation financière. « Il est convenable de coopérer pour que la majorité des réfugiés regagnent leurs villages et domiciles », a-t-il précisé, exprimant sa disposition à coopérer avec le gouvernement libanais en cas de décider de traiter sérieusement avec ce dossier.
Il a appelé le gouvernement libanais à étudier sérieusement l’établissement de contacts officiels avec le gouvernement syrien à l’égard de ce dossier pressant.
R.B.
