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Damas/En signe de condamnation de la poursuite par les réseaux terroristes de la coupure des eaux potables dans la ville de Damas, résidée par plus de 5 millions citoyens, un sit-in de protestation a été observé aujourd’hui devant l’Assemblée du peuple avec la participation de membres du l’Assemblée et d’un certain nombre de fonctionnaires au ministère des Ressources hydrauliques et à l’établissement public des eaux à Damas et dans sa banlieue, pour exercer des pressions sur la communauté internationale et sur les pays qui soutiennent et commanditent le terrorisme afin de mettre fin à ce crime et de permettre le pompage des eaux aux habitants de la ville de Damas.
Les participants au sit-in ont affirmé que la coupure des eaux dans la capitale de Damas pour en priver ses citoyens, dont le nombre atteint 5 millions personnes, constitue un crime de guerre et un terrorisme international organisé que suivent les pays soutenant le terrorisme, notamment l’entité sioniste.
Les participants au sit-in ont livré à la présidente de l’Assemblée du peuple, Hediya Abbas, un message sur la coupure des eaux par les terroristes dans la ville de Damas, espérant que l’Assemblée fera parvenir leurs voix aux Parlements mondiaux et à la communauté internationale pour qu’ils jouent leur rôle dans la cessation de ce crime et dans l’obligation des gangs terroristes à mettre fin à leurs crimes contre le peuple syrien qui se tient ferme depuis plus de six ans.
Dans un point de presse, la présidente de l’Assemblée du peuple, Hediya Abbas, a affirmé que la coupure des eaux potables dans la ville de Damas est un crime de guerre et un crime contre l’humanité.
Et Abbas d’ajouter : « L’Assemblée du peuple condamne et rejette cet acte terroriste et réclame aux pays et aux Parlements du monde, aux organisations des droits de l’Homme et à l’ONU, notamment le Conseil de sécurité, d’exercer des pressions sur les pays et les gouvernements qui soutiennent les terroristes et ignorent leurs pratiques terroristes.
Par ailleurs, les participants ont dénoncé dans un message similaire qu’ils avaient livré au représentant résident de l’ONU en Syrie, la coupure des eaux dans la ville de Damas, précisant que cet acte criminel se soldera par une “catastrophe humanitaire réelle”.
R.F. / A. Chatta
