Ala : La Grande-Bretagne est une partie directe dans l’agression contre la Syrie

Genève-SANA / L’ambassadeur permanent de la Syrie au bureau de l’ONU et des autres organisations onusiennes à Genève, l’ambassadeur, Hussam Eddine Ala, a affirmé le rejet du projet de résolution britannique soumis au Conseil des Droits de l’Homme sur la situation en Syrie, faisant savoir que les allégations de la Grande-Bretagne sur le respect de la souveraineté de la Syrie n’ont pas de valeur, car elle est une partie directe dans l’agression contre la Syrie.

Lors d’une séance tenue aujourd’hui par le Conseil des droits de l’Homme, l’ambassadeur Ala a indiqué que le projet de résolution soumis ne sort pas du volet des résolutions déséquilibrées que la Grande-Bretagne soumet au Conseil dans un contexte sélectif et non honnête visant la Syrie par un langage d’incitation et des résolutions politisées et partiales.

Ala a fait noter que les allégations incluses dans le projet de résolution sur le respect total de la souveraineté, de l’indépendance, de l’unité et de l’intégrité territoriale de la Syrie sur la Charte de l’ONU les rendent sans valeur lorsque ces résolutions se transforment en des outils pour transgresser les dispositions et les principes de la Charte et lorsque les pays qui soumettent ces projets de résolution au Conseil sont une partie directe dans l’agression contre la Syrie et dans la perpétration des crimes et des massacres contre les civils dans le cadre d’une Coalition internationale illégale créée contrairement aux principes et aux dispositions du droit international.

« La Syrie rejette les rapports de la « Commission d’enquête internationale », vu qu’elle est un mécanisme politisé dont l’action manque de principes professionnels et objectifs et les rapports du soi-disant « mécanisme international indépendant et impartial » que les gouvernements commanditaires du terrorisme ont contribué à sa création et dont la création a des transgressions juridiques graves », a-t-il dit.

Ala a assuré que les allégations sur l’attachement au soutien du processus politique et sur la cessation de la souffrance humanitaire des Syriens ne sont point compatibles avec l’ignorance de l’admission que le terrorisme et les politiques de l’agression, de l’occupation et des mesures coercitives unilatérales sont la raison de la souffrance des Syriens et ne se conforment pas aux tentatives de perturber les efforts faits par la Syrie pour faire retourner les personnes déplacées à leurs maisons.

A.Ch.

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