Le ministère des AE appelle la communauté internationale à condamner le crime commis par des organisations terroristes dans la banlieue d’Idleb

Damas/Le ministère des Affaires étrangères et des expatriés a adressé deux messages identiques au Secrétaire général des Nations Unies et au président du Conseil de sécurité des Nations Unies sur le crime odieux commis contre les enfants de la Syrie au gouvernorat d’Idleb.

Dans les deux messages, dont des copies sont parvenues à SANA, le ministère a affirmé que le 16 septembre 2014 la Syrie a assisté à une catastrophe humanitaire commise, avec la  complicité de faux établissements sanitaires relevant aux organisations terroristes armés, et en collaboration avec les autorités turques, qui q couté la vie à 15 enfants syriens et causé des cas de suffocation parmi d’autres, dans des zones à l’est de Maaret Nohman dans la banlieue d’Idleb, à cause de mauvais vaccins, dont l’origine est inconnu.

Selon les deux messages, le gouvernement de la République arabe syrienne, avait effectué, en collaboration de l’organisation  de la Santé mondiale, l’UNICEF et des organisations non gouvernementales nationales des dizaines de campanes nationales de vaccination contre des épidémies et des maladies mortelles, comme la poliomyélite et la fièvre typhoïde.

Le ministère a poursuivi, en affirmant que la Syrie, quand elle condamne ce crime brutal commis contre les enfants innocents de la Syrie, elle réitère sa résolution à exécuter ses engagements et à déployer tout effort pour acheminer les besoins médicaux aux habitants dans les zones syriennes situées près de la frontalière turque.

Le ministère a indiqué que le gouvernement de la République arabe syrienne appelle les Nations-Unies et ses agences à respecter ses obligations, surtout ceux  prévus par la résolution /2165/2014 /, qui obligent les organismes humanitaires relevant à l’ONU et ses partenaires exécutifs à notifier le gouvernement syrien de ses plans et ses activités, avant d’utiliser les routes des lignes de conflit et aux passages frontaliers internationaux, tels que Bab al-Salam, Bab al-Hawa, al-Yaarubiya et Ramthah, afin d’assurer l’arrivée de l’aide humanitaire, dont le matériel médical et chirurgical, à ceux qui ont en besoin parmi les civils dans les différents régions de la Syrie.

Il a, de même, expliqué que dans le cadre du plan de réponse humanitaire de l’année  2014,les agences des Nations-Unies partenaires doivent surveiller médologiquement la réponse humanitaire qui conforme aux normes et aux standards internationaux et nationaux suivies dans le domaine sanitaire et humanitaire.

Le ministère a conclu en disant: La République arabe syrienne  appelle les Nations Unies à ouvrir une enquête immédiate pour découvrir les responsables de ce crime, y compris des responsables turcs qui ont facilité la perpétration de ce crime et souligne sa volonté de coopérer avec tous les mécanismes des Nations Unies pour faire cette enquête et traduire les coupables en justice, afin de protéger les droits des enfants d’obtenir le soin sanitaire nécessaire.

 Le ministère de la Santé condamne la vaccination, dans des circonstances mystérieuses, des enfants à  dans la banlieue d’Idleb

 Le ministère de la Santé a condamné vivement le fait de donner, dans des circonstances mystérieuses, des vaccins contre la rougeole, dans des zones à l’est de Maaret Nohman dans la banlieue d’Idleb, par la soi-disant ”Coalition”, en collaboration avec les autorités turques, ce qui couté la vie à 15 enfants et causé des cas de suffocation à d’autre.

Dans un communiqué, dont une copie est parvenue à SANA, le ministère a déclaré que 15 enfants sont tombés martyrs et des dizaines d’autres ont souffert de cas de suffocation, après que la soi-disant ”Coalition” leur avait donné, en collaboration avec les autorités turques, des vaccins contre la rougeole dans des circonstances encore mystérieuses jusqu’à présent.

Il s’est étonné de la facilitation de la distribution et l’accès des vaccins et des médicaments spécifiques interdits au niveau mondial sans prescription, ce qui constitue, selon le ministère une violation du droit international et des principes et des normes régissant les relations internationales à ce sujet et expose au danger la vie des civils dans cette zone.

Le ministère a appelé les habitants des zones périphériques des frontalières turques à ne pas prendre des médicaments ou vaccins introduits par les autorités turques, assurant que le ministère n’a pas épargné et n’épargnera aucun effort pour acheminer les soins médicaux, notamment les vaccins des enfants, aux habitants par tous les moyens disponibles, en coopération avec le Croissant-Rouge arabe syrien, d’autres organisations internationales travaillant dans le domaine de la santé sur le territoire syrien.

Le ministère a, de même, incité les organisations sanitaires internationales à condamner cette catastrophe humanitaire et à enquêter ses circonstances pour protéger le droit des enfants d’obtenir le soin sanitaire nécessaire et interdire la répétition tels actes criminels.

Il a, finalement, demandé de traiter seulement avec les campagnes nationales de vaccination approuvées par le ministère de la Santé et déjà annoncées dans les différents médias nationaux.

D.H./ L.A.

 

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